Dans le prolongement d’une communication faite en 1985 à l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique sur Le temps, la vie, la mort dans la conception médiévale, Pierre Ruelle entamait à la fin de sa vie l’édition critique d’un ensemble de vingt-sept versions latines et françaises des Artes bene moriendi de la fin du Moyen Âge.
La mort devait l’empêcher de mener à bien cet ultime projet, repris, selon le souhait de ses héritiers, par Craig Baker, Alain Dierkens et Annick Englebert.
C’est à cet ambitieux projet éditorial qu’est voué le présent site.