Incunable L

[a ii r] |1 Le prologue de ce present livre.

|2 Considerant que, en ceste vie presente, n’est donnee aucune permanence ou aucune stabilité qu’il ne faille que une chacune creature de ce monde, de quelque estat qu’elle soit, que elle ne paie le tribut de la mort |3 a cause de l’obligacion en la quelle nostre pere Adam et Eve, nostre premiere mere, premiers parens, nous ont obligéz. |4 De cecy avons nous tesmoingnage en la saincte Escripture, disant : |5 Dies nostri sicut umbra pretereunt, |6 c’est a dire que « Noz jours passent ainsi comme umbre ».

|71 Ensuit la premiere partie de ce livre, c’est assavoir de la louenge de la mort.

|72 En ceste premiere partie de la louenge de la mort, j’ay consideré |73 que, de toutes les choses terribles de ceste vie, la mort corporelle est la tres terrible. |74 Et de ce nous parle le Philozophe au quart livre d’Ethiques, disant en ceste maniere |75 que « De tant que l’ame est plus noble et plus precieuse que le corps, |76 de tant la mort espirituelle de l’ame est plus terrible et plus detestable et plus horrible sans compareson que n’est celle du corps ».

|77 Et, a ce propos, le saint prophete David nous dit en son Psaultier en ceste maniere : |78 Mors peccatorum pessima, |79 c’est a dire que « La mort des pecheurs est tres mauvaise ». |80 Et pour ce pouvons nous considerer le dit d’un versificateur ainsi disant : |81 Fine malo claudi, mala denique vita meretur, |82 c’est a dire que « De telle vie comme l’en a usé communement on meurt », se ce n’est par la Providence de la bonté divine.

[a vi r]

|173 La seconde partie de ce livre est des temptacions faictes aux mourants.

|174 Et premierement de la foy.

|175 Sachent toutes creatures, hommes et femmes, les quelz ont a passer de ce monde en l’autre, comme il soit ainsi qu’il n’est nul qui ne gouste la mort |176 il est assavoir pour tout vray que ceulx qui sont constituéz a mourir ont a celle heure telles temptacions de nostre adversaire l’ennemy d’enfer que oncques en leur vie n’eurent a congnoistre. |177 Entre les quelles en y a cinq principales |178 des quelles la premiere est de la foy |179  pour ce que elle est le fondement et commencement de tout salut.

|256 De desesperance, seconde temptacion.

|257 Quant le dyable d’enfer, en tant comme il a peu tempter, apperçoit que en nulle maniere il n’a rien fait et qu’il n’y a point de effect aux temptacions qu’il a presentees a la creature [b ii r] estante en l’article de la mort et que elle est demouree ferme sans quelque variacion, |258 pourtant, s’il se voit sourmonté et confondu en la temptacion premiere, la quelle a esté de la foy, sy ne se tient il pas a tant, |259 mais incontinent met paine de l’oster de la bonne esperance la quelle il voit avoir a la bonne creature et aussi de la confidence la quelle il congnoit que le mallade met en Dieu, |260 considerant que, ces choses ostees, il pourra abatre le malade et faire trebucher en voie de desesperacion.

|385 De vaine gloire, quarte temptacion.

|386 Quant le dyable d’enfer voit qu’il ne peut nullement oster la creature de charité ne la mettre par nulle voie en impacience et murmuracion contre Dieu |387 mais benignement et sans contredit reçoit et soustient pacientement les flagellacions et [b v r] corrections de son benoist Redempteur, |388 non pour tant ne cesse point la malignité cruenteuse du dyable et plaine de tourment ne sa perverse voulenté deceptive et falacieuse |389 mais vient et approuche cautement et malicieusement a la creature, l’esjouyssant par complacence et vaine gloire de soy mesmes, la quelle est orgueil espirituel. |390 Et, par telle vaine gloire et complacence, le dyable a infait, deceu et corrumpu plusieurs gens de religion et plusieurs devotz et bons catholiques |391 a cause des bonnes œuvres et operacions les quelles ilz congnoissoient en eulx mesmes sans en rendre a Dieu ne graces ne louenges.

|436 De la souvenance des choses temporelles, quinte temptacion.

|437Aprés est presentee la quinte temptacion, la quelle infait et corrumpt principallement les seculiers et charnelz, |438 comme [b vi r] trop grande occupacion des choses temporelles et exteriores, |439 c’est a dire envers sa femme et ses enfans et envers ses amys et mondaines richesses et autres choses les quelles ilz ont en leur vie aymé trop desordonnement, |440 car, certainement, qui veult bien et sceurement mourir, il doit totallement contempner toutes choses temporelles et exteriores et les mettre hors de sa pensee et affection ainsi comme s’ilz n’eussent oncques esté et soy voluntairement du tout commettre a Dieu.

|472 La tierce partie de ce livre est des interrogacions faictes aux mourans.

|473 Sache chacune personne que telles interrogacions doivent estre faictes a ceulx qui ont a mourir ainsi come il sera declairé en aprés, tant comme ilz ont encoire usage de raison et de parler, |474 affin et pour telle cause que, s’aucun est moins disposé a mourir qu’il ne doit, qu’i soit de bien en mieulx informé et en tel besoing conforté.

|475 Et, selon le glorieux docteur de l’Eglise monseigneur saint Anselme , les interrogacions doivent estre faictes en ceste maniere.

[c i v]

|520 La quarte partie est de quoy et comment on doit le malade enseigner, avec les deprecacions que on lui doit faire.

|521 Combien qu’il soit de certain que les interrogacions devant dictes soient veues estre suffisantes, competentes et convenables seulement aux personnes religieuses et devotes, |522 toutesfois, selon aucun venerable docteur Chancelier de Paris, |523 tous crestiens, tant seculiers que reguliers, doivent estre informéz et enquis plus certainement et plus clerement de leur estat et salut, en la bataille et luyte de la mort, |524 en la maniere des choses ensuyvantes.

|642 La quinte partie est des exhortacions.

|643 Semblablement, maintenant, luy soit admonesté contre les autres temptacions aucunes exhortacions ensuyvantes, c’est qu’il soit fort en courage a resister vertueusement en l’encontre, |644 combien que le dyable ne le puisse en aucune chose contraindre.

|645 Aprés luy soit admonnesté qu’il se rende a Dieu comme vray et loyal chrestien. |646 Et, avec ce, est besoing de savoir s’il est point lyé et detenu au lyen de excomunicacion.

|647 En aprés luy soit exhorté que, en tant qu’il luy est possible, |648 de toutes ses forces se submette en l’ordonnance de nostre Mere [c iiii r] saincte Eglise affin qu’il soit absoulz. |649 Et, s’il est ainsi que celuy qui est a mourir congnoisse qu’il ait longue espasse de temps et qu’il ne soit point hasté de la mort, |650 les devocions, histores et legendes luy sont a estre leues devant luy d’aucun des presens, aux quelles il se delectoit et prenoit plaisir quant il estoit en santé.

|689 La sixiesme partie est des oraisons faictes sur les mourans.

|690 Il est aprés assavoir que les oraisons ensuyvantes peuent estre dictes sur le malade labourant en la bataille de la mort, le quel, s’il est personne de religion, |691 selon ce qu’il est acoustumé, soit le couvent appellé et soient dictes les pseaulmes accoustumees et la letanie ordinaire soit chantee avecques les oraisons.

|692 Et, aprés ces choses faictes, se il vit espasse de temps suffisant, ces oraisons ensuyvantes soient enjointes d’aucun de ceulx qui sont presens, selon ce que l’opportunité du temps leur dourra espasse. |693 Les quelles choses soient reïterees par plusieurs fois pour esmouvoir le malade a devocion se il a usage de raison.

|741 Ensuyvent aucunes autres exhortacions faictes aux mourans.

|742 Selon ce que dit le glorieux apostre de Dieu monseigneur saint Pol, |743 Sine fide impossible est placere Deo, |744 c’est a dire que « Sans foy, il est impossible de plaire a Dieu ». |745 Pour ce, l’ancien ennemy, le dyable d’enfer, ayant congnoissance icelle foy estre la pierre du fondement de l’Eglise et la naissance de toutes vertus, |746 il s’efforce de l’impugner et assaillir en moult de merveilleuses manieres, comme par faulses opinions et erronees ymaginacions. |747 Et, celuy qu’il ne peut dejecter de la stabilité et fermeté de la foy, touteffois, il se met en fait de le pertroubler sans relache par faulses industries et dolositéz.

|1390 Exhortacions singulieres que doit faire le prestre au malade.

|1391 Aprés ces choses doit le prestre singulierement exhorter le malade que pacientement et benignement il soustienne ceste enfermeté et maladie, la quelle est de Dieu envoiee, |1392 en luy disant que, se l’enfermeté du corps est bien portee joyeusement et sans murmure, elle engendrera la santé de l’ame |1393 et qu’il ne contempne pas la correction et discipline de Dieu, duquel seul est le salut de l’ame, |1394 mais rende plustost graces a Dieu le flagellant et luy donnant en ceste maniere correction.

|1395 Et, pour ce, dit Salomon, en ses Proverbes : |1396 Flagellat autem Dominus omnem filium quem recipit, |1397 c’est a dire que « Dieu corrige tout enfant qu’il reçoit » et veult recevoir en sa grace.

|1433 Des articles de la foy.

|1434 Pour eviter a ignorance, il est assavoir qu’il sont quatorse articles de la foy, des quelz en y a sept appartenans au mystere de la Trinité, |1435 c’est assavoir quatre appartenans a la Divinité et trois appartenans a l’operacion et effect d’icelle cheans sur la foy. [f iiii v] |1436 Et les autres sept appartiennent a l’umanité de Jesucrist.

[f v v] 

1484 Du prouffit et utilité de ceste doctrine.

|1485 Affin que les estudians de ce livre qui pourroient avoir petite memoire des choses devant dictes puissent plus legierement recorder et mettre en leur retentive le prouffit et utilité salutaire de ceste estude |1486 et que tousjours de mieulx en mieulx ilz soient animéz et enclins mettre en leur entendement chose dont il puisse sortir en leurs cueurs vertueux effect, |1487 me suis disposé, soubz pou de paroles, enarrer les parties de ceste presente œuvre, |1488 priant Dieu que, en la premiere partie, c’est assavoir de la louenge de la mort et science de bien mourir, puissons tellement mettre et ficher nostre entendement en celle science |1489 que nous soions contens et appareilléz de mourir a la volenté de Dieu, nostre Createur.

Table des noms propres

ABRAHAM, 232, 235, 237, 242, 1354, 1355, patriarche, père des Hébreux

ADAM, 3, 1103, le premier homme

ALBERT, ALBERT VENERABLE DOCTEUR, 356, 362, Albert le Grand, dominicain théologien (1193-1280)

AMBROISE, SAINT AMBROISE, 1239, Ambroise de Milan, évêque de Milan au-près duquel Augustin se convertit au christianisme

ANSELME, GLORIEUX DOCTEUR DE L’EGLISE MONSEIGNEUR SAINT ANSELME, 475, Anselme, archevêque de Cantorbéry, évoqué à travers son Cur Deus homo ?

ANTHOINE, 432, BENOIST SAINT ANTHOINE, 431, Antoine, anachorète

APOCALIPSE, 93, 1400, Apocalypse de Jean, dernier livre du Nouveau Testament

ARISTOTE, PHILOZOPHE, 74, PHILOSOPHE, 895, philosophe évoqué principalement à travers son Éthique à Nicomaque

AUGUSTIN, SAINT AUGUSTIN, 186, 289, 295, 368, 381, 632, 758, 879, 889, 986, 1076, 1226, 1418, 1431, 1424, MONSEIGNEUR SAINT AUGUSTIN, 46, 467, AUCUN SAGE, 101, Augustin, évêque d’Hippone, l’un des quatre Pères de l’Église occidentale et l’un des trente-six docteurs de l’Église

Index des textes cités

Actes des Apôtres, 5, 41 : 934-935 ; 9, 6 : 118-1189

Albert le Grand, Enchiridion de virtutibus veris et perfectis, XXXIX, 3 (De contritione) : 357-358, 363-364

Anselme de Cantorbéry, Cur Deus homo ?, (De interrogandi moribundis) : 475-481

Apocalypse, 1, 5 : 1302-1303 ; 14, 13 : 94-95, 1401-1402

Aristote, Éthique à Nicomaque, II, 2, 123 : 896-898 ; III, 7 : 75-76

Augustin

De anima et spiritu, XXVII : 987-988
De civitate Dei contra paganos, XIII, II : 102-105
De Fide et Operibus, I, 15, 24 : 187-188
De verbis Domini et apostoli, V : 880-881 ; XX (commentaire de Mathieu, 24, 19) : 296-297
De visitatio infirmorum, I, VI : 1419-1420
Enarrationes in Psalmos, XXXIII, II, 20 : 369-370 ; CI : 468-469
In epistolam Ioannis ad Parthos, VI, 6 : 890-892
In Iohannis Evangelium tractatus : 290-291
Sermo contra judaeos, Parganos et Arianos : 1077-1080
Sermo IX de Evangelio Luc : 1468
Sermones Ad Fratres In Eremo Commorantes, XXXII : 310-313
Speculum peccatoris, I, III : 48-49

ABATRE, 260, v., affaiblir

ADMIRACION, 812, n. f., étonnement

ADMONESTÉ v. ADMONNESTER

ADMONICION, 40, 54, AMMONICION, 863, 926, 957, AMONICION, 699, n. f., conseil, recommandation

ADMONNESTER, 1398, ADMONNESTANT, 661, 698, 941, ADMONNESTE, 989, ADMONNESTÉ, 645, ADMONNESTEE, 958, 960, ADMONESTÉ, 643, v., conseiller

ADVENEMENT, 150, 1111, n. m., venue

ADVOUTRISE, 1415, n. f., adultère

AFFECTION, 38, 440, 703, 957 1274, AFFECTIONS, 813, n. f., émotion, sentiment

AFFLICTION, 358, 364, 730, AFFLICTIONS, 731, n. f., « Abattement consécutif à un événement douloureux » (DMF)

AFFRESCHISSEMENT, 1014, 1245, n. m., soulagement, apaisement

AMMONICION, AMONICION v. ADMONICION

APOSTUME, 335, n. m./f., tumeur

BEGNIN, 217, 277, 373, 728, adj., bienveillant

BEGNINEMENT, 282, 387, 721, 1391, adv., avec bienveillance

BENIGNITÉ, 298, 536, 1019, n. f., bienveillance, bonté

BLANDISSEMENT, BLANDISSEMENS, 660, n. m., flatterie

CANONIQUE, 189, n. f., évangile canonique

CAUTELEUX, CAUTELEUSE, 791, 994, adj., sournois

CAUTELEUSEMENT, 748, 985, adv., sournoisement

COGNACION, 1356, n. f., parenté par le sang

COMMOCION, COMMOCIONS, 972, n. f., incitation

COMPLACENCE, 389, 390, 413, n. f., autosatisfaction, vanité

CONFERMER, CONFERME, 866, CONFERMÉ, 326, 863, 867, CONFERMEE, 1427, CONFERMENT, 1073, v., affermir, renforcer

CONFIER, 315, CONFIANT, 25, 34, 499, 1252, v. pron., avoir confiance

CONFIDENCE, 217, 259, 304, 392, 427, 1031, 1045, 1257, n. f., confiance

CONFIDENTEMENT, 1241, adv., avec confiance

CONSUMMACION, 105, 1338, 1446, n. f., accomplissement

CONTEMPNER, 440, CONTEMPNE, 1393, v., mépriser

CONTEMPNEMENT, 1398, n. m., mépris

CONVERSACION, 705, 709, n. f., conduite

CRUCIACION, 373, n. f., tourment

DEBTER, DEBTANT, 817, v., redouter, faire redouter

DEBTE, 105, 1223, n. f., devoir moral

DECEPTIBLE, 224, 992, adj., trompeur

DECEPTIVE, 388, adj., trompeur

DEMOQUÉ, 1372, v., abuser

DEPRECACION, DEPRECACIONS, 66, 520, n. f., prière insistante, supplication

DEPRIMER, 418, v., abaisser

DESORDONNÉ, 1199, adj., contraire à l’ordre moral ou social

DESORDONNEMENT, 439, adv., dans le désordre

DESPRISER, DESPRISERA, 281, v., mépriser, dédaigner

DESTROIT, 695, n. m., moment critique

DOUBTEUX, DOUBTEUSE, 925, adj., redoutable, redoutée

EFFICACE, 611, n. f., pouvoir, force

EMENDATION, 704, n. f., réparation des péchés commis

ENCHEOIR, 772, v., sombrer

ENFERME

ENFERME, 368, 628, 653, n. m., malade

ENFERME, ENFERMES, 656, 696, adj., malade

ENFERMETÉ, 335, 345, 358, 359, 361, 995, 1238, 1391, 1392, ENFERMETÉZ, 380, ENFERMITÉ, 471, n. f., maladie

ENNUY, 165, 335, 752, n. m., souffrance

ENROUSER, ENROUSÉ, 799, 1032, v., arroser

ENVIS, 1143, 1148, adv., contre son gré

ERRONIQUE, 971, adj., qui induit en erreur

ESCHIVER, ESCHIVE, 682, v., éviter

ESLARGIR, 13, 19, 313, 1093, ESLARGIE, 1165, ESLARGIS, 1365, ESLARGIT, 1022, v., donner généreusement

ESSAUCER, ESSAUCÉZ, 891, v., enorgueillir, glorifier

ESTRANGE, 105, 1139, 1140, adj., inconnu

ESTUDE, 55, 683, 1485, n. f., zèle

ESTUDIE, 330, n. f., zèle

EXIL, 56, 104, n. m., vie sur terre

EXPEDIENT, 7, 46, 122, 1465, adj., profitable

FALACES, 795, n. f., ruse, piège

FANTASIES, 749, 751, 943, 949, n. f., apparition fantastique

FRANCHISE, 206, 452, n. f., libre arbitre

FRAUDULENT, 992, FRAUDULENTES, 993, 1063, adj., trompeur

FRUICION, 1307, n. f., jouissance d’un bien

IMPETRER, IMPETRASSENT, 1253, IMPETRE, 251, v., essayer d’obtenir

IMPROPERER, IMPROPERANT, 1080, v., reprocher

IMPUGNACION, 915, n. f., attaque

IMPUGNER, 746, v., attaquer

MALICE, 15, 199, 1265, 1267, n. f., méchanceté

MALICIEUX, MALICIEUSE, 197, 772, 994, adj., malfaisant, nuisible

MALICIEUSEMENT, 389, adv., dans une intention malfaisante

MONICION, 867, n. f., suggestions, conseil

MOYENNE, 622, n. f., médiatrice

MUCHER, MUCHE, 878, 1031, MUCHÉ, 852, MUCHEES, 972, v., cacher, dérober à la vue

MURMURACION, 386, n. f., protestation, récrimination

MURMURE, 133, 145, 352, 380, 1392, n. m./f., protestation

MURMURER, MURMURANS, 344, MURMURE, 345, 355, MURMURONS, 348, v., protester, se plaindre

OBFUSQUER, OBFUSQUEE, 787, v., masquer

OPERACION, 564, 1272, 1340, 1435, OPERACIONS, 391, n. f., action

PAROLES, 129, 1079, 1187, 1365, 1487, n. f., mot

POURTANT QUE, 656, 881, 903, 1261, conj., parce que

PUBLICANS, 321, n. m., collecteur d’impôts

PURGACION, 757, n. f., purification

REFECTION, 1298, n. f., repas

REFECTIONNER, REFECTIONNAST, 1369, v., restaurer

REFRIGERACION, 721, 1014, 1038, 1245, n. f., soulagement, réconfort

REFRIGEREMENT, 98, n. m., apaisement, consolation

RELENQUIR, RELENQUI, 846, 1013, RELENQUIS, 819, v., abandonner

REMUNERACION, 550, 964, n. f., récompense

RETENTIVE, 46, 1485, n. f., mémoire

REVERENCE, 545, 667, 1041, 1044, 1053, n. f., respect, déférence

SENSUALITÉ, 112, 131, 903, n. f., sensibilité, émotion

SENTENCE, 15, 39, 673, n. f., phrase, formulation

SERRE, 49, n. f., endroit clos

THURIBULE, 49, 51, n. m., encensoir

TREBUCHER, 260, 997, 1003, TREBUCHE, 203, 416, v., tomber

TRESPASSER, TRESPASSE, 275, v., transgresser

TRIBULACION, 373, 471, 822, 832, 910, 915, 1013, 1334, TRIBULACIONS, 370, 771, 935, n. f., épreuve

TURBACION, 957, n. f., trouble, bouleversement

VERGE, 763, n. f., châtiment

VIANDE, 20, 909, 910, 1251, 1300, VIANDES, 911, 912, 913, n. f., aliment solide